Lorsqu’un Africain échoue, toute sa communauté croît qu’il est maudit, envoûté ou ensorcelé par un membre de sa propre famille, qui peut-être son grand-parent, son oncle, son père ou sa mère, sa soeur ou son frère. Il est qualifié de quelqu’un qui a du <<mauvais sang>> c’est-à-dire qui n’a pas de chance
Lorsqu’un Africain réussit, on l’accuse d’avoir utilisé le <<fétiche>> ou <<magie>> et d’avoir sacrifé un ou plusieurs de ses proches qui sont morts depuis que ses affaires marchent et qu’il a commencé à prospérer. Sa communauté l’accuse d’appartenir aux sociétés secrètes composées de <<buveurs de sang>>, dont les membres consomment l’énergie des autres pour s’enrichir à tout prix. Les plus optimistes considèrent qu’il a du <<bon sang>> c’est-à-dire qu’il est chanceux.
Finalement, I’Africain est condamné à vivre dans la honte d’être pauvre et dans l’inquiétude de s’enrichir. ll est lié par l’embarras, le soupçon, la frustration, la honte et l’inquiétude dans sa vie sociale et dans sa vie spirituelle.
La religion et la politique sont deux prisons, « singa », pour les Africains. La crise sociale est une crise religieuse et politique qui n’a pas été résolue. La crise sociale africaine est entretenu par le conflit entre le social et le spirituel, les politiques et les religieux. Politiques et religieux se défendent ou s’accusent de ne pas être responsables de ce qui arrive à leur peuple, à leur société, à leur nation. Voici l’examen de cette scène de théâtre.
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